lundi 31 août 2009

Comment gérer le blues de la rentrée?


Blues, stress, insomnies, migraines, bouderies... les symptômes de la fin des vacances et par conséquent de la rentrée très prochaine sont là, indéniables.
J'ai trouvé dans une de mes boîtes mails (métier oblige :-) quelques conseils pour atténuer le choc de la rentrée. Je vous livre ces conseils tels quels afin que vous y puisiez tout ce qui pourrait vous aider à adoucir le Grand Jour. Ils sont évidents mais il fallait y penser...
Et cela me fait penser à la réceptionniste de nos voisins de bureaux qui décore la réception d'un thème spécifique afin d'animer la grisaille de son environnement. Depuis que je la côtoie (depuis le déménagement de nos bureaux) elle a offert à ses visiteurs des voyages maritimes et des escapades marocaines, qui aux dernières nouvelles sont encore à découvrir.. tout y est, depuis le chameau jusqu'à la lanterne, en passant par les incontournables cartes postales, le sable, les masques et les tissus berbères. J'admire cette dame souriante et généreuse qui colore ainsi la vie de centaines de collègues. Mais assez parlé, ci-dessous les conseils annoncés que vous pouvez retrouver sur ce site dont j'ai même emprunté la photo que je trouve très explicite:

Les vacances sont finies, les valises rangées jusqu’à l’année prochaine… Mais comment
« survivre » jusque là ? Comment faire face à votre retour au bureau, à vos collègues, à vos envies de prendre le large? Voici quelques conseils pour retrouver la vie « post vacances » avec le sourire.
Pensée positive
Tout d'abord, forcez-vous à rester positif. Oui, les vacances, c’est la liberté, c’est le bonheur, la meilleure période pour décompresser, mais rien ne vous empêche d’être heureux tout le restant de l’année également. Ne gâchez pas vos plaisirs quotidiens avec des petites tracasseries de rien du tout.
Activités estivales
C’est vrai vous êtes rentré de vacances, mais les beaux jours ne sont pas encore tout à fait derrière nous ! C’est encore le moment d’aller vous promener dans la forêt, de déguster une glace, de s’asseoir à une terrasse avec des amis, de faire du vélo,...
Mode légère
Profitez du climat encore estival pour trouver un mix de vos vêtements « vacances » avec vos tenues de travail afin de vous sentir encore un peu en vacances.
Zenitude
Une vague vous submerge dès que vous avez passé la porte de votre bureau ? Les soucis professionnels vous rattrapent mais hors de question de prendre sur vos épaules tout ce que vous avez laissé en partant. Et si les dossiers en souffrance n'ont pas disparu par magie, n'oubliez pas de vous concentrer sur ce qui vous rend heureux. Il y a des aspects positifs et négatifs dans tout, voyez les positifs en priorité.
Un peu d'originalité
En vacances, on en profite souvent pour découvrir de nouveaux coins, de nouvelles activités, de nouvelles personnes. Alors pourquoi ne pas modifier vos habitudes quand vous êtes à la maison? Faites des choses auxquelles vous n'auriez pas pensé auparavant !
Concentration
Difficile de rester concentré quand notre cerveau a encore en mémoire toutes les jolies cartes postales de nos vacances. Vous n'avez aucune envie de travailler ? Pourtant, la meilleure solution pour faire passer le temps plus vite est justement de travailler en vous donnant à 100%. De plus, cela vous procurera de la satisfaction de voir votre charge de travail diminuer !
Jusqu'aux prochaines vacances…
En attendant vos prochaines vacances, organisez-vous une petite escapade hors de chez vous, en famille ou entre amis. Histoire d'avoir un nouveau projet en tête pour vous aider à tenir le coup.

dimanche 30 août 2009

vive la famille!

Réunion de famille aujourd'hui: tous les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants autour de notre mère-grand de nonante ans. Très belle journée paisible et amusante, faite d'heureuses retrouvailles, d'un château gonflable, de tennis et de balades, d'avions téléguidés (clin d'oeil à Loulou) mais surtout de conversations animées...
Et... vous ne devinerez jamais: un cousin par alliance (qui a atterri par hasard sur mon blog en cherchant des critiques sur "Un fauteuil d'orchestre" incroyable mais vrai) m'a donné la clé pour alléger mon blog!
I haaa! Je n'utilise jamais ce cri de guerre mais là, j'avoue qu'il m'a bluffé! Et je suis si heureuse d'avoir trouvé la solution qui est si simple et si évidente qu'évidemment personne n'y avait pensé avant lui: ne mettre que quelques messages sur la page d'accueil! Comment, mais comment n'y ai-je pas pensé plus tôt? Je n'avais jamais réalisé que c'était une page qu'on téléchargeait et non tout un blog! Enfin voilà, dorénavant, vous n'aurez plus l'excuse de ne pouvoir ouvrir mon blog ;-) Bonne soirée et bonne rentrée pour ceux qui redémarrent!

samedi 29 août 2009

gros mots

"CONNASSE!" crie Chenapan dans le jardin. (Il faut savoir que dès que j'abaisse la vitre de la voiture de son côté et qu'il voit une personne du sexe faible, l'insulte fuse. Vous imaginez ma gêne... qui plus est à un feu rouge... J'ai beau agiter ma main dans sa direction, il esquive à chaque fois...)
"Et alors, c'est quoi ça! Tu ne peux pas dire de gros mots et en plus tu déranges les voisins avec tes vociférations...", lui dis-je avec un tout tout petit peu d'impatience teintée d'un léger amusement caché.
"Petite connasse, ze peux ça?"
A votre avis, je lui ai répondu kwaaaa???

"Aurore" Pierre Rapsat

A Aurore.

Cette belle chanson de notre grand poète Pierre Rapsat.


lundi 24 août 2009

Paraguay III

Roberto Milciade Oscar Gustavo
Christian Aristide
Je n'ai pu vous dire
Flordelima Nilson y Sergio
Jorge Ramon je voudrais pouvoir
Je voudrais savoir et dire
Et posséder
Ce regard ce sourire
Et puis
Presser ce sourire contre mon coeur
envelopper ce regard
Afin de le mieux conserver
Intact
Pur
Droit
et provoquant
Enfant
Ceverino -ton présent vient combler une lacune

Paraguay 1993

Paraguay II

Le Paraguay est là tout en sa puanteur
De rio déversoir fournisseur de poisson
De charogne et d'amour traversée d'un frisson
Je revois ces débris vestiges de grandeur

La nature a repris lentement possession
de fiefs abandonnés le bidonville est roi
La peur la peur monte déjà contrôle-toi
Ils sont là coudes au corps craintifs en procession

Ces enfants de misère ces enfants de mon âme
Pouilleux galeux déguenillés et une mère
De vingt ans et ses six enfants un peu amère
A l'image de leur pays qui les en blâme

Le rayon d'un sourire édenté illumine
Les orangers protégé par les militaires
Un bonheur si fragile convois humanitaires
Barrage d'Itaipu un progrès s'achemine

Le rayon d'un sourire édenté brille au fond
De mon être un vol étoilé m'a ramené
Le coucher du soleil mille fois répété
Prolonge la lourdeur lumineuse du plomb

Asuncion-Bruxelles 1992

samedi 22 août 2009

Paraguay


En exhumant mes poèmes, je suis retombée sur de nombreux écrits et je me suis souvenue.
Je me souviens en particulier de ces quelques mois passés au Paraguay, avec ce désir qui m'habitait d'être une petite goutte d'eau qui alimenterait l'océan de l'entraide et de la fraternité.
Je me souviens de ces enfants au rire si éclatant qui m'avaient affectueusement surnommée "Flipper" et à qui j'essayais d'apprendre quelques mots d'anglais.
De leurs orteils rongés par le "pique", ce parasite qui s'installe sous la peau et pond des oeufs qui, une fois éclos, font éclater les ongles de pieds et que nous enlevions afin de les soulager.
De ces Guaranis, qui chassés chaque fois plus au Sud, étaient décimés par la malaria.
De cet Indien Guarani dont je tenais la tête, lui assis sur une chaise de la petite classe du village, la dentiste penchée sur sa dent gangrenée, une tenaille à la main. J'admirais son courage: pas un son, pas un gémissement, seul ce battement de gorge qui témoignait de la peur et de la douleur. Et je priais car il perdait beaucoup de sang: il devait éviter tout effort, le soleil, les boissons chaudes: nous ne pouvions le recoudre car nous n'allions pas revenir.
Je me souviens de ces femmes rongées par l'infection.
De ce soldat qui est venu vers nous en courant, appelant à l'aide en serrant son doigt tranché comme son bien le plus précieux.
De ces maisons faites de cartons et de tôles que nous avons désinfectées, expliquant aux mères méfiantes pourquoi bouillir l'eau qu'elles puisaient dans le petit ru près de la décharge.
De ces chiens faméliques que nous vaccinions contre la rage.
De ces câbles à haute tension qui traînaient à même le sol.
Des inondations qui avaient fait d'une partie d'Asuncion une zone sinistrée.
De cette famille de paysans qui, en signe de gratitude, a sacrifié pour nous son unique poule.
De leur foi simple et confiante qu'accompagnaient de nombreuses images pieuses.
Des politiciens, qui en vue des élections, sillonnaient les campagnes en achetant des voix grâce à la distribution de casquettes et de dollars US.
De cette chasse au lion en compagnie de l'ingénieur agronome qui nous a permis de voir des loups et des crocos.
De ces cactus qui avaient sauvés les Paraguayens lors de la guerre du Chaco.
De ce chef Ketchua qui nous a mis des bébés crocos entre les mains.
De cette femme qui, n'ayant pas d'identité et ne pouvant par conséquent porter plainte, subissait régulièrement la visite d'hommes sans scrupules.
Et je me suis souvenue que mes visites ont quand même laissé une trace: j'ai parlé de cette femme sans identité à une amie paraguayenne soucieuse de ses concitoyens et elle a mis à profit ses études de droit pour monter une consultation juridique au dispensaire. Ses démarches ont permis de redonner une identité à cette pauvre femme abusée.
Je me souviens aussi des chutes d'Iguazu, si impressionnantes que nous en avions le souffle coupé et que notre guide s'était converti en les contemplant.
Et je me souviens de ce sentiment de gratitude qui m'habitait alors que je n'en pouvais plus de froid et de solitude parmi ce peuple si simple et si chaleureux.

Photo empruntée au site album au féminin.

jeudi 20 août 2009

statistiques

Hier ou avant-hier, j'entendais que l'OMS (Organisation mondiale de la Santé) publiait des chiffres alarmants: toutes les 20 secondes, un enfant meurt dans le monde faute d'avoir accès à "l'or bleu". Manque d'eau potable et manque d'hygiène! En allant sur leur site, j'ai lu que "La population ayant accès à l'eau potable a progressé de 10%". Quoi qu'alarmante, la situation semble donc être en net progrès, ce qui ne m'empêche pas de m'insurger: aujourd'hui, en effet, j'entendais que malgré la crise dans le secteur automobile, le monde de l'automobile de grand luxe (entendons par là les RR, Ferrari, cuir cousu main etc) se portait si bien dans notre pays qu'il pouvait se prévaloir d'un chiffre d'affaire à la hausse. Quand on dit que le fossé se creuse, je veux bien le croire: le taux de chômage augmente de manière alarmante dans toutes nos régions, le surendettement augmente proportionnellement, mais le grand luxe se porte bien!
Comment, mais comment est-ce possible? Comment a-t-on engendré un tel individualisme, une telle indifférence aux souffrances de ses semblables? Sans doute en se détournant tous les jours du mendiant, en effaçant la misère de son horizon parce qu'elle n'est pas belle à voir, parce que, rien à faire, elle dérange quand elle frappe à la porte, s'agrippe au manteau, parce qu'elle semble irréelle à force d'être présente sur le petit écran, telle un feuilleton...
Heureusement, la générosité et le sens de l'autre existent aussi et font pencher la balance vers un monde ou l'homme représente quelque chose. Heureusement, il y a ces personnes qui partent au bout du monde consacrer leur vie à améliorer celle des autres. Heureusement, il y a aussi ces personnes que l'on ne voit pas, qui ne refusent jamais une offrande aussi petite soit-elle, qui partagent leur sourire, qui auront toujours un commentaire positif, et qui, sans s'en rendre compte, changent le monde autour d'elles grâce à leur rayonnement.

dimanche 16 août 2009

Mélancolie, Chopin

Chopin berce ma mélancolie ce soir. Les nocturnes, suivis de valses et de mazurkas au rythme enlevé, accompagnent ce billet.
J'ai déposé mes trois schtroumpfs ce soir, mon Loulou n'est pas là et moi qui rêve de ces moments de solitude quasi inexistants, je me sens dépossédée. Beaucoup de questions m'habitent ces derniers mois. L'approche des 40 ans n'y est sans doute pour rien, mais la période de vie que nous traversons l'est certainement et finalement c'est lié. Je pense sincèrement que nous devons arrêter de courir pour bénéficier du cadeau qui nous est offert chaque jour, la vie que nous avons reçue et celle que nous avons donnée, nous arrêter pour respirer le parfum qui nous entoure, pour apprécier les petits gestes offerts ou donnés que nous ne remarquons plus, profiter du rire de nos enfants, retrouver le sourire qui disparaît devant les tracas quotidiens, essuyer les larmes de l'enfant qui dit tous les matins "pars pas maman, pars pas sans moi!" et pouvoir le prendre dans ses bras sans avoir à le repousser parce que l'heure tourne. Prendre le temps de faire les lits, les bouquets, les petits plats avec amour au lieu d'être guidée par le devoir pressant.
Les corps s'usent, se fatiguent, mais où est l'essentiel? Ouh, ça fait crise des 40 ans, mais je crois que ce sont des questions fondamentales que l'on doit se poser régulièrement en couple sans pour autant remettre en question les ciments de celui-ci : Où allons-nous? Que faisons-nous? Que voulons-nous? Que pouvons-nous? Qu'est-ce qui est bien pour nous?
Oui, surtout la dernière : qu'est-ce qui est réellement, profondément bien pour nous?
A propos de Chopin, je me souviens qu'un jour, je devais avoir 10 ans, ma soeur aînée -et aussi l'aînée de mes soeurs- et moi-même sommes allées dans un magasin de disque place Stéphanie, spécialisé en musique classique. Réunissant nos maigres économies, nous voulions offrir un cadeau pour la fête des mères. "Bonjour Monsieur. Nous voulons des valses s'il vous plaît." "Quelles valses voulez-vous?". "Heu, notre maman aime beaucoup la valse, alors donnez-nous de belles valses s'il vous plaît." Comme vous l'aurez compris, nous avons reçu une éducation plutôt orientée dessin, peinture et lectures, la musique étant laissée à notre libre entendement... Finalement, nous sommes ressorties avec un disque intitulé "14 valses de Chopin" et avec l'assurance que notre mère allait être comblée. Mais quelle ne fut pas NOTRE déception en ne reconnaissant pas les valses, vous savez, celles de Strauss, le Danube bleu, la valse de l'Empereur et toutes les autres qui nous faisaient tournoyer. Non, à la place nous avions une espèce de musique à la madame Mac Mich. Nous étions si déçues, notre mère très émue et passant et repassant de disque...

samedi 15 août 2009

"Santa Maria" Kelly Family

En anglais et en espagnol parce que le langage est universel devant Dieu et que je n'arrive pas à choisir!



jeudi 13 août 2009

Avatar I

Caricature
Voici mon premier avatar, que j'ai créé en reprenant le site proposé indirectement par Célestine.
Très sincèrement, j'ai joué le jeu à 200%, habillant ma poupée de la manière la plus ressemblante possible, mais je ne m'y retrouve pas vraiment. Le boulot y est, la chaise de bureau, les étagères pleines de dossiers, les lunettes de soleil dans les cheveux quand j'oublie de les enlever (un peu pétasse, je sais, mais je me soigne!) les yeux emplis de larmes parce que je suis allergique à je ne sais pas quoi dans les nouveaux bâtiments, et que mes yeux sont synchronisés aux perpétuels éternuements matinaux), les talons la plupart du temps parce que je dois donner l'exemple même si j'ai mal aux pieds à force de courir pour essayer de satisfaire tout le monde ce qui est rarement le cas :-( mais ... il manque clairement en arrière-plan mes trois schtroumpfs, mon loulou, Extra, Spi, la cuisine, la vaisselle, la lessive, les soeurs, les parents, les amis, le sport (que je fais surtout en théorie), l'ordi etc etc qui, proportionnellement me prennent moins de temps, mais sont tellement plus importants.
Et puis j'avoue tout aussi sincèrement que ce n'est peut-être pas mon style de caricature préféré, mais c'est quand même très sympa, et je me suis bien éclatée.
Si vous connaissez des sites non vecteurs de virus qui permettent d'habiller sa propre poupée, je suis preneuse. Prête à vous proposer plusieurs modèles!

mardi 11 août 2009

"While my guitar gently weeps" George Harrison

Comme le problème de connexion ne semble pas venir de mon blog, je m'y remets le coeur léger et HEUREUSE de continuer encore et encore avec cette chanson magnifique que je dédie à un ami qui ne lit jamais mon blog mais n'a pas trop le moral ces temps-ci!

vendredi 7 août 2009

Daniel Gillès

Daniel Gillès. Souvenir d'un homme ressemblant physiquement à mon grand-père tout en ayant une expression très différente. L'un, homme d'action à l'éducation teintée de ce Jansénisme propre au Nord du pays, travailleur acharné, dont les gestes ont toujours été guidés par le sens du devoir -sa devise, transmise à ses enfants et petits-enfants était Dieu, le Roi, la Patrie!, l'autre, le regard tantôt rêveur, tantôt tourné vers la terre, sans doute aussi vers le Ciel mais je ne suis pas dans le secret, l'attitude un peu théâtrale, le geste ample, amoureux de la Russie et surtout de sa littérature, de Tolstoï et de Tchechov, de sa grandeur et de sa démesure, de ses personnages tourmentés...
La dernière image que j'en ai date d'une réunion de famille chez mes grands-parents, à Snellegem, je ne sais plus à quelle occasion. Elle est celle d'un homme charmant, au dos un peu voûté, aux yeux un peu larmoyants, mais ce ne sont que des souvenirs de très jeune fille.
A ma demande, mon père m'en parlait l'autre jour. Il a partagé avec moi ses souvenirs d'enfant, car ils ont vécus sous le même toit après la guerre. Mais ils sont si personnels que je préfère les taire.
Daniel Gillès primé pour Mort la douce (prix Rossel 1951), Tchekhov ou le spectateur désenchanté (Grand Prix de la Critique 1967) Le festival de Salzbourg, (Grand Prix triennal du roman 1976).
Oncle Daniel, tourmenté, cynique, critique par rapport à son milieu, son époque, son mode de vie, mais ne sachant pas vivre sans, tout comme ses personnages. Oncle Daniel, déchiré entre le monde sensible et le monde des idées. Oncle Daniel, à la plume agile et à la culture étendue, conteur, historien, critique littéraire, romancier au talent incontesté. D'un coup de plume, il brosse ses personnages, leurs défauts et leurs qualités dans un contexte très proche de ce qu'il connaît, rendant un tableau vivant, amusant, grave parfois, attendrissant, très bien documenté.
Oncle Daniel, j'aurais voulu avoir l'opportunité de parler littérature avec toi, mais j'étais trop jeune, c'est dommage.

dimanche 2 août 2009

"No bravery" James Blunt (Blood Diamond)

cliquez ici pour découvrir cette si belle chanson.

Plusieurs lecteurs me font part de leur difficulté à consulter mon blog. Dorénavant, afin d'alléger mon blog, je ne mettrai plus que le lien vers des extraits filmés, chanson ou autre. Dès que j'en aurai le temps, je ferai de même pour tous les extraits existants. C'est le coeur lourd que je prends cette décision, mais bon, la technologie n'étant pas infaillible...



Vive la technologie qui me permet finalement de fonctionner comme toujours!